Les Dernières Hirondelles歌词

歌曲名:Les Dernières Hirondelles  歌手:Henri Salvador  所属专辑:《Révérence》

介绍:《Les Dernières Hirondelles》是由Henri Salvador演唱的歌曲,该歌曲收录在Henri Salvador的《Révérence》专辑之中,如果您觉得该歌曲好听的话,就把这首歌分享给您的朋友一起支持Henri Salvador的Les Dernières Hirondelles的吧!

Les Dernières Hirondelles歌词

作曲 : Modo, Molard, Salvador
Les dernières hirondelles
Vers d’autres cieux plus cléments
S’éloignaient à tire d’ailes
Sous la pluie et dans le vent.
Le joueur de mandoline
Egratignait sous le haut vent
La chanson de colombine
A l’attention des passants.

Une fleur tombée à terre
Répandait négligemment
Son parfum et son mystère
Sous les pas indifférents,
Ça et là, des feuilles rousses
Venaient frôler nos cheveux
Et la vie était si douce
Et nous étions si heureux.

Un chien noir tirant la patte
Cheminait clopin-clopant
Une gamine à longue natte
Le suivait en sautillant
Nous marchions l’un près de l’autre
Mon pas s’accordant au tien
Sans nous occuper des autres
Ma main au chaud dans ta main.

Le ciel était gris et mauve
Les arbres en gémissant
Quittaient leur parure fauve
Dans la pluie et sous le vent
Ce jour là tout pareil aux autres
S’éteignit, le soir venu,
Mais tu m’avais dit, je t’aime
Et je ne l’oublierai plus.

Les Dernières HirondellesLRC歌词

作曲 : Modo, Molard, Salvador
Les dernières hirondelles
Vers d’autres cieux plus cléments
S’éloignaient à tire d’ailes
Sous la pluie et dans le vent.
Le joueur de mandoline
Egratignait sous le haut vent
La chanson de colombine
A l’attention des passants.

Une fleur tombée à terre
Répandait négligemment
Son parfum et son mystère
Sous les pas indifférents,
Ça et là, des feuilles rousses
Venaient frôler nos cheveux
Et la vie était si douce
Et nous étions si heureux.

Un chien noir tirant la patte
Cheminait clopin-clopant
Une gamine à longue natte
Le suivait en sautillant
Nous marchions l’un près de l’autre
Mon pas s’accordant au tien
Sans nous occuper des autres
Ma main au chaud dans ta main.

Le ciel était gris et mauve
Les arbres en gémissant
Quittaient leur parure fauve
Dans la pluie et sous le vent
Ce jour là tout pareil aux autres
S’éteignit, le soir venu,
Mais tu m’avais dit, je t’aime
Et je ne l’oublierai plus.